Vos Témoignages
Vous êtes nombreux à nous avoir fait part de vos souffrances et de votre vie gâchée par les Hormones de Synthèse. Beaucoup d'entre nous considèrent qu'ils n'ont pris conscience du problème que trop tard et que, désormais, ils n'ont plus le courage et les moyens de se battre. Nous pensons, de notre côté, qu'il convient d'apporter toute son énergie à l'effort commun que nous avons entrepris; c'est avec l'aide de tous que nous pourrons parvenir à l'objectif que nous nous sommes fixé. A titre d'exemple, nous vous livrons, ci-dessous, quelques extraits significatifs des derniers témoignages qui nous ont été communiqués: .................................................................................................................................................................................. Je suis la mère d'un enfant qui a, dès son plus jeune age, été atteint de graves troubles du comportement que je n'ai jamais su expliquer. Il a été placé, une fois de plus, en maison d'arrêt. Ni le Président du TGI ni le Juge d'Instruction n'ont voulu m'écouter et prendre en compte le fait que j'avais dû prendre du Distilbène durant ma grossesse. Apparemment, ils ne connaissent pas du tout les effets psychiatriques de cette hormone que je viens moi-même de découvrir en écoutant une émission de radio. Murielle / Calais le 7/10/2006 .................................................................................................................................................................................. Nous sommes les parents d'un fils agé de 31 ans, marié et père de deux enfants, qui se trouve incarcéré pour assassinat. Bien que les faits qui lui sont reprochés soient d'une extrême gravité, nous sommes persuadés que notre fils n'a pu agir que sous l'effet d'un délire ou autre affection psychiatrique consécutive, notamment, à son exposition au distilbène. [..................] [....] Malgré l'action de son avocat pour qu'il puisse bénéficier d'un examen médico-psychiatrique, le juge d'instruction a purement et simplement rejeté sa demande. J-C. C / La Voulte le 12/10/2006 ........................................................................................................................................................................................ Comme nous en avons discuté par téléphone, je vous confirme qu'il nous est impossible d'obtenir une preuve suffisante des prescriptions de distilbène, notre médecin ayant détruit toutes ses archives. A qui pouvons-nous nous adresser dans ce cas et quelle chance avons-nous de pouvoir rapidement présenter ces preuves au juge ? Marie-Stella / Givors le 19/10/2006 ........................................................................................................................................................................................ ...[j'ai appris il y a quelques jours seulement que j'avais été exposé moi-même à cette hormone. Je peux, à présent, comprendre pourquoi j'ai toujours eu des problèmes d'adaptation à mon environnement accompagné de longues périodes de depression. Je n'en n'ai jamais parlé à personne mais je dois consulter rapidement mon médecin car je crains que mon état ne se dégrade avec le temps comme il semble que ce soit le cas pour beaucoup] ..........[je compte sur vous pour m'aider]..... Sylvain G. / Orléans le 13/11/2006 ...[mon frère et moi sommes, tous deux, des “enfants distilbène”. Si, de mon côté, je n'ai pas été atteinte, mon frère souffre depuis près d'un an de troubles psychiatriques survenus très soudainement à l'age de 30 ans]...[les médecins parlent de schizophénie (?) mais sont incapables (ou ne veulent pas) nous donner un avis sur le rôle du Distilbène sur son état]... Céline / Macon le 30/11/2006 * Voir, entre autres exemples, les bavures judiciaires du procès d'Outreau...
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toutes interventions auprès des resonsables concernés en partenariat avec Chercheurs, Associations, Médecins, CHU ...
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Extraits des derniers témoignages publiés avec l'autorisation de leur(s) auteur(s): ...[rien n'est plus décourageant que d'être certaine d'avoir pris du Distilbène avec ses conséquences sur mes enfants et petits-enfants que de n'avoir aucun moyen de le prouver et me trouver sans ressources]...[ mon médecin généraliste est décédé il y a plusieurs années et le dossier médical que j'ai pu récupérer à la clinique ne mentionne pas la prise des médicaments avant les accouchements]... Cécile A. @ Aix-en-Provence, le 21/12/2006 ...[même l'Ordre des Médecins qui dispose pourtant de toutes les études sur ce sujet ne veut pas entendre parler des Hormones de synthèse et leurs effets psychiatriques]...[certains qui se sont intéressés aux derniers travaux sur l'animal restent murés dans un silence suspect]...[j'ai 2 enfants qui connaissent de gros problèmes, traités depuis plusieurs années sous anxiolitiques]...[leur état s'est stabilisé mais je ne vois pas comment ils pourront se débrouiller seuls une fois que nous ne seront plus là]... Gilbert Jam. @ Rennes, le 6/01/2007 ...[dès que notre fils a présenté ces troubles, nous avons adhéré au Réseau DES-France dont nous avions déjà entendu parler. Celui-ci nous a dirigé ensuite sur l'association hhorages qui venait de se constituer]...[c'est la seule structure qui, semble-t-il s'était spécialisée dans le domaine des conséquences psychiatriques du Distilbène qui touchent autant les garçons que les filles]...[mais nous n'avons ni ordonnances ni dossier médical complet et sommes exclus des possibles réclamations auprès du Laboratoire] ... J.C. @ Paris, le 8/01/2007 ...[je vous écris pour mon frère atteint de schyzophrénie depuis 7 ans]...[c'est suite à une émission de télé que notre famille a fait le rapprochement avec le distilbène il y a moins d'un an]...[ma mère se souvient avoir eu une grossesse difficile et avoir pris certains médicaments à base de distilbene. Elle vient de se faire remettre une copie d'une partie de son dossier médical qui confirme]...[le médecin qui suit mon frère nous dit qu'il n'y a pas de lien entre les deux]...[à qui pouvons-nous faire confiance?] Claire B. @ Chamoy, le 17/01/2007
Bonjour, Je sais pas si mon témoignage vas vous intéresser, mais je me lance quand même. Mon histoire commance il y a 2,5 ans... Nous sommes en 2004 et ma femme et moi décidont de fonder une famille (mariage, enfants...). C'est début 2005 que nous nous mettons à travailler pour le bébé... Mais le mois passent et toujours rien... Début 2006, ma femme en parle à sa gynécho, qui lui dit "qu'on est trop jeune pour s'en inquiter" mais décide quand même de nous faire faire des examens soit disant pour nous rassurer. Mais le verdicte tombera en juin : azoospermie sécrétoire irréversible. Impossible pour moi d'avoir des enfants... Au déut, l'andrologue ne veut pas donner de causes: inconnue... Mais, alors que le premier spermogramme révèle une azoospermie, ma mère m'annonce que pendant ma grossesse, on lui a donné du DES. J'en parle à l'andrologue qui me suivait alors et le marque sur son dossier en le soulignant au moins 5 fois !!! Ce n'est que quelques mois plus tard, quand nous décidons de passer par un don de sperme pour avoir un enfant, que l'andrologue nous annonces que pour lui, mon pb était très certainement lié au DES. Mais il marque sur mon dossier "inconnue" pour la cause... Maintenant, à chaque fois que j'essai d'évoquer la chose avec le monde médical (en particulier au CECOS) c'est motus et bouche cousu : "il n'existe aucun lien tengible entre stérilité masculine et DES"... Normal, à ma connaissance aucune étude n'a été faite. Mais je pense aussi que le CECOS en sait plus qu'il veut bien le dire... De plus, sur certains forum que j'ai parcouru sur l'azoospermie, j'ai rencontré 2 hommes dans mon cas en cherchant des infos sur la stérilité et non sur le DES (beuacoup pour des cas très isolé comme on me prétend) Alors je me résigne à mon sort et me concentre sur notre long parcours du don. Je ne pense pas avoir de pb psychologique comme j'ai vu sur certains articles, je ne suis pas suicidaire. J'ai simplement des difficultés d'acceptation de ma stérilité qui arrive en même temps que des pbs de boulot, mais rien de plus... Voilà. Fabrice le 20/06/2007
épouse depuis 15 ans d'un filsdes, je reconnais aujourd'hui que son comportement n'est pas seulement lié à son conflit avec ses parents car plus d'une fois il s'en est pris à moi en le regrettant par la suite. aujourd'hui, les cris les injections envers tous ceux qui l'approchent ou qui m'approchent de près fusent. Il se sent toujours mal aimé, pas rassuré pour la énième fois il vient d'avoir une altercation qui a motivé son licenciement, alors qu'il avait un poste convenable. il y a une semaine, il a eu un mouvement d'humeur qui a choqué les trois enfants, au point ou il a renversé toute une étagère, ses colères sont disproportionnées par rapport aux causes. il se méfie de tout le monde mais il tient un langage si logique que je me sens perdue, et si aujourd'hui, je ne considérais pas que son attitude va nous couter notre union et le bien être des enfants, je crois que je ne croirais pas mes beaux parents qui n'ont cessé de me prouver que le Distilben était à l'origine de ces excès perpétuels. Je vous demande aujourd'hui de me prouver que je ne me trompe pas, que mon mari est effectivement malade car personnellement je suis perdue et au bord de la crise de nerf. J'en viens à le détester! et cette situation crée une ambiance explosive à la maison ce qui est malsain pour le bienêtre des enfants. il est vrai que je suis restée septique quant à toute cette histoire mais force m'est d'admettre que nier ce phénomène me serait préjudiciable bien que je doute encore. Je vous demande de m'apporter plus de renseignements concernant les effets psychologiques du Distilben et les moyens de le soigner afin de nous sauver tous les cinq, car il n'a jamais cru que ce traitement était responsable de son mal d'être. Il en veut à tout le monde et principalement à sa mère et un peu plus à son père maintenant qu'il accuse de ne l'avoir pas protégé. Je me suis faite l'écho de ses arguments jusqu'à aujourd'hui! j'attends beaucoup de vous et vous assure de ma sympathie. Josy le 07/04/2007
Bonjour à vous tous ,je suis Mme Alvarez Laure fille DES 35 ans comme vous et cela fait 3ans que je cherchais en vain à vous joindre pour vous exprimez combien je partage vos souffrances, vos vies ,vos santés car un jour j' ai fait la connaissance par mon site personnel des cactus d' un homme fils DES âgé de 48 ans qui m' avait contacté et il est stérile , marié et à du adopter ces enfants, il vit dans le département des 2 sèvres et nous avons communiqués généreusement sur nos problèmes liés et je peux vous dire que cela m' à profondément touché et que je suis sincèrement navrée qu' on ne parle pas assez de vous alors que vous êtes comme nous des victimes de ce poison : nos frères. Cet homme est malheureusement aussi touché par un dysfonctionnement érectile et j' ai eu beau lui dire qu' il ne devait pas en avoir honte car il n' était absolument pas responsable et que je lui ai suggérer à plusieurs reprises de se mettre en contact avec d' autres hommes comme vous mais il à trop honte et peur à la fois?. Je voudrais tant qu' il change d' avis pour qu' il se sente mieux dans sa peau mais jene peux pas l' y obligéer car j' ai bien trop de respect pour lui et sa femme. Je vais quand même le re contacter pour lui spécifier votre site internet peut-être viendra t' il vous voir sait-on jamais?. Je viens aussi vous dire que je vous encourage à vous battre de toutes vos forces et que j''espère de tout coeur que l' on vous entendra car vous ne devez jamais abandonner la lutte , moi je me battrai jusqu 'à la mort c' est un devoir. J' ai eu la chance d' avoir mon fils unique qui va bien pour l'lnstant en espérant qu' il n' aura pas à payer plus tard vu qu' il est de la 3ième génération. Je vous invite à découvrir l' association qui aide tous les couples infertiles et qui pourraient généreusement vous aider si vous le désirez bien sur: www.maia-asso.org , mon site personnel : www.cactus-sante.com . Même si on ne parle pas directement de vous on ne vous oublie pas rassurez vous et on parle de toutes les victimes en France. Voilà bon courage à tous et persévérez c'est notre devise. Cordialement et amicalement , j'ai aussi un frère DES plus âgé que moi. Laure le 27/03/2007
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